L’alliance des médias pour l’environnement et l’assainissement (AMEA), a tenu un atelier mardi 23 aout 2016 à Lomé dans le cadre de la mise en œuvre du projet MEDIA COP 22. Les participants, constitués essentiellement de journalistes, avaient pour tâche de faire le lien entre les trois accords signés en 2015 notamment l’accord de Sendai sur les risques de catastrophes, l’accord de New York sur les objectifs de développement durables (ODD) et l’accord de Paris sur le climat. Les échanges ont tournées autour du thème ‘’ Quelle synergie pour les accords post 2015 ?’’.

ameFace aux diverses anomalies que traverse la planète terre, les inondations par ici, les tremblements de terre et séismes par-là,  la sécheresse,… la vie de l’humanité est en situation de danger en permanence. Ce fléaux suscite des réflexions des partis pour l’aboutissement des solutions pour freiner un tant soit peu cette anomalie. C’est dans ce souci qu’en 2015, trois accords notamment : l’accord de Sendai sur les risques de catastrophes, l’accord de New York sur les objectifs de développement durables (ODD) et l’accord de Paris sur le climat ont été signés pour promouvoir le respect et la bonne gestion de l’environnement au profit de l’humanité, un facteur sensible pour l’atteinte des objectifs des accords précités. Donc parvenir à donner à l’humanité la joie de vivre dans un environnement en toute sécurité.

De nos jours, la démographie planétaire occasionne plus de nécessité en ressources forestières, plus de besoin de provenance industrielle. Dans un but de répondre favorablement à ces exigences humaines, la planète ‘’Terre’’ se vide de ses ressources naturelles et plus encore, elle est polluée. C’est une situation qui, de plus en plus prend de l’ ampleur  en défaveur de la vie de la planète et de tous ceux qui l’habite ; et le principale acteur est l’ ‘’HOMME’’.

Les trois accords de 2015 qui, selon Joachin Tata AMEGBOH, Conseiller Technique au ministère de l’environnement, ne sont pas dissociables, sont des approches de solutions  pour préserver l’humanité des difficultés que les générations futures peuvent subir dans les années à venir. Car pour lui, le réchauffement climatique, l’émission des gaz à effet de serre, sont les résultats de la male gestion des ressources naturelles que regorge la planète.

Le journaliste acteur principale de transmission de l’information, est le pilier au quel doit s’adosser le citoyen pour s’imprégner des bonnes pratiques de gestion des ressources dont regorge la planète. Cet atelier consacré aux hommes  de média est alors  une invitation à une bonne rédaction et de traitement de l’information en rapport aux phénomènes du climat, de l’environnement et de sa gestion pour le bien être de la population. Pour François Koami AMEGNIGNON, Coordonnateur du Projet Média COP 22, « la mise en œuvre des recommandations issus des accords de 2015 sur l’environnement, c’est contribuer au bien être humain ».

Un concours ‘’Media COP awards’’ est lancé depuis  le 12 juillet 2016 afin de primer les meilleurs productions sur les changements climatiques. Une autre session de formation est prévue en septembre prochain dans ce cadre.

Serge TASTOME